TESTEZ VOS CONNAISSANCES

L’organisation de vos déplacements n’est pas une priorité pour vous. Pourtant, les accidents de trajet sont plus nombreux dans les services à la personne que dans les autres secteurs d’activité. C’est un sujet qui mérite votre attention.

Les bonnes pratiques

• Mon activité est organisée en lien avec mon ou mes employeur(s) pour des déplacements en sécurité : planification de mes déplacements, de mes horaires, de ma pause déjeuner
• Je ne cours pas quand je me rends chez une personne aidée
• Je suis prudent dans les escaliers extérieurs
• Je porte des chaussures fermées avec des semelles en bon état
• Je choisis les itinéraires les plus sûrs selon le type de mode de transport utilisé : en priorité des routes à 2X2 voies pour les voitures, trottoirs et voies piétonnes si je suis à pied, pistes cyclables pour les 2 roues. Si je peux, j’utilise en priorité les transports en commun
• Je m’informe tous les jours des conditions de circulation : conditions météo, difficultés de circulation. Je veille à ce qu’une solution ait été anticipée pour le cas où je ne pourrais me rendre au domicile de la personne aidée
• Je me gare dans une zone fréquentée et éclairée

Vous êtes sur la bonne voie, c’est bien.

Les bonnes pratiques

• Mon activité est organisée en lien avec mon ou mes employeur(s) pour des déplacements en sécurité : planification de mes déplacements, de mes horaires, de ma pause déjeuner
• Je ne cours pas quand je me rends chez une personne aidée
• Je suis prudent dans les escaliers extérieurs
• Je porte des chaussures fermées avec des semelles en bon état
• Je choisis les itinéraires les plus sûrs selon le type de mode de transport utilisé : en priorité des routes à 2X2 voies pour les voitures, trottoirs et voies piétonnes si je suis à pied, pistes cyclables pour les 2 roues. Si je peux, j’utilise en priorité les transports en commun
• Je m’informe tous les jours des conditions de circulation : conditions météo, difficultés de circulation. Je veille à ce qu’une solution ait été anticipée pour le cas où je ne pourrais me rendre au domicile de la personne aidée
• Je me gare dans une zone fréquentée et éclairée

Vous avez un profil d’expert. Vous avez conscience des risques liés aux déplacements dans votre activité et vous savez comment les gérer.

Les bonnes pratiques

• Mon activité est organisée en lien avec mon ou mes employeur(s) pour des déplacements en sécurité : planification de mes déplacements, de mes horaires, de ma pause déjeuner
• Je ne cours pas quand je me rends chez une personne aidée
• Je suis prudent dans les escaliers extérieurs
• Je porte des chaussures fermées avec des semelles en bon état
• Je choisis les itinéraires les plus sûrs selon le type de mode de transport utilisé : en priorité des routes à 2X2 voies pour les voitures, trottoirs et voies piétonnes si je suis à pied, pistes cyclables pour les 2 roues. Si je peux, j’utilise en priorité les transports en commun
• Je m’informe tous les jours des conditions de circulation : conditions météo, difficultés de circulation. Je veille à ce qu’une solution ait été anticipée pour le cas où je ne pourrais me rendre au domicile de la personne aidée
• Je me gare dans une zone fréquentée et éclairée

Vous ne vous sentez pas particulièrement concerné par l’entretien des véhicules que vous utilisez. C’est pourtant un point important pour diminuer les risques d’accident.

Les bonnes pratiques

• Avant utilisation, je procède à une vérification rapide du véhicule : rétroviseurs, éclairage, rangement, pneus, voyants d’alarme du tableau de bord
• Je vérifie que le véhicule utilisé comporte le matériel de signalisation pour le véhicule et pour moi-même : gilet, triangle de signalisation. Si je conduis la voiture de la personne aidée, je lui signale toutes les anomalies repérées
• Je m’assure que ce que je transporte est bien calé dans le coffre : courses, mallette…
• Je veille à ce qu’une solution ait été anticipée pour le cas où je ne pourrais me rendre au domicile de la personne aidée par absence de véhicule

Ce n’est pas mal du tout, vous savez que les déplacements dans votre activité peuvent être une source d’accidents. Vous surveillez l’état de votre véhicule motorisé ou non et vous êtes un conducteur averti.

Les bonnes pratiques

• Avant utilisation, je procède à une vérification rapide du véhicule : rétroviseurs, éclairage, rangement, pneus, voyants d’alarme du tableau de bord
• Je vérifie que le véhicule utilisé comporte le matériel de signalisation pour le véhicule et pour moi-même : gilet, triangle de signalisation. Si je conduis la voiture de la personne aidée, je lui signale toutes les anomalies repérées
• Je m’assure que ce que je transporte est bien calé dans le coffre : courses, mallette…
• Je veille à ce qu’une solution ait été anticipée pour le cas où je ne pourrais me rendre au domicile de la personne aidée par absence de véhicule

Bravo, vous êtes expert. Vous maîtrisez vos risques.

Les bonnes pratiques

• Avant utilisation, je procède à une vérification rapide du véhicule : rétroviseurs, éclairage, rangement, pneus, voyants d’alarme du tableau de bord
• Je vérifie que le véhicule utilisé comporte le matériel de signalisation pour le véhicule et pour moi-même : gilet, triangle de signalisation. Si je conduis la voiture de la personne aidée, je lui signale toutes les anomalies repérées
• Je m’assure que ce que je transporte est bien calé dans le coffre : courses, mallette…
• Je veille à ce qu’une solution ait été anticipée pour le cas où je ne pourrais me rendre au domicile de la personne aidée par absence de véhicule

La vigilance n’est pas votre qualité première mais vous avez toutes les cartes en main pour progresser. Il existe des solutions simples à mettre en œuvre pour vous déplacer en limitant les risques.

Les bonnes pratiques

• Je privilégie la marche avant pour quitter un stationnement
• Je coupe mon téléphone pendant que je conduis
• Je lis avec attention les informations concernant les effets secondaires des médicaments, notamment tout ce qui concerne la vigilance et je recherche le pictogramme correspondant sur la boite
• Je signale à mon médecin que je conduis pour le travail
• Je pense à boire de l’eau surtout l’été pour prévenir le coup de chaleur
• Je ne prends ni boisson alcoolisée ni drogue avant d’effectuer des déplacements

Ce n’est pas mal du tout, vous êtes vigilant dans vos déplacements et vous adoptez les bons réflexes aux bons moments. Vous pouvez encore progresser.

Les bonnes pratiques

• Je privilégie la marche avant pour quitter un stationnement
• Je coupe mon téléphone pendant que je conduis
• Je lis avec attention les informations concernant les effets secondaires des médicaments, notamment tout ce qui concerne la vigilance et je recherche le pictogramme correspondant sur la boite
• Je signale à mon médecin que je conduis pour le travail
• Je pense à boire de l’eau surtout l’été pour prévenir le coup de chaleur
• Je ne prends ni boisson alcoolisée ni drogue avant d’effectuer des déplacements

Bravo, vous êtes expert.

Les bonnes pratiques

• Je privilégie la marche avant pour quitter un stationnement
• Je coupe mon téléphone pendant que je conduis
• Je lis avec attention les informations concernant les effets secondaires des médicaments, notamment tout ce qui concerne la vigilance et je recherche le pictogramme correspondant sur la boite
• Je signale à mon médecin que je conduis pour le travail
• Je pense à boire de l’eau surtout l’été pour prévenir le coup de chaleur
• Je ne prends ni boisson alcoolisée ni drogue avant d’effectuer des déplacements

Vous avez un profil de débutant en matière d’amélioration et d’entretien du cadre de vie et vous vous exposez ainsi à des situations qui pourraient s’avérer dangereuses pour votre santé.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos, hépatite B
• Je me lave les mains avant et après les interventions et aussi après avoir enlevé mes gants
• J’ai les ongles courts, non manucurés et je ne porte pas de bijoux
• Je dépoussière les sols du fond de la pièce vers l’entrée : j’utilise de préférence un balai humide
• Je nettoie le sol en allant du plus propre vers le plus sale : j’utilise de préférence un balai avec un seau combiné et un produit nettoyant ménager
• Pour le dépoussiérage des surfaces (mobilier, encadrement de fenêtre, luminaire), je commence du plus haut vers le plus bas : j’utilise une chiffonette humide imbibée d’un produits nettoyants ménagers
• J’essuie avec attention les téléphones, télécommandes, poignées de porte et ustensiles de cuisine
• Je stimule la personne pour qu’elle participe à certaines activités en fonction de ses capacités
• Je l’incite au rangement
• Si j’ai des problèmes de santé en travaillant, j’en parle à mon médecin

L’organisation du ménage est une de vos préoccupations, c’est bien. Vous savez déjà un certain nombre de choses.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos, hépatite B
• Je me lave les mains avant et après les interventions et aussi après avoir enlevé mes gants
• J’ai les ongles courts, non manucurés et je ne porte pas de bijoux
• Je dépoussière les sols du fond de la pièce vers l’entrée : j’utilise de préférence un balai humide
• Je nettoie le sol en allant du plus propre vers le plus sale : j’utilise de préférence un balai avec un seau combiné et un produit nettoyant ménager
• Pour le dépoussiérage des surfaces (mobilier, encadrement de fenêtre, luminaire), je commence du plus haut vers le plus bas : j’utilise une chiffonette humide imbibée d’un produits nettoyants ménagers
• J’essuie avec attention les téléphones, télécommandes, poignées de porte et ustensiles de cuisine
• Je stimule la personne pour qu’elle participe à certaines activités en fonction de ses capacités
• Je l’incite au rangement
• Si j’ai des problèmes de santé en travaillant, j’en parle à mon médecin

Félicitations, l’organisation du ménage, c’est votre truc. Vous êtes très à l’aise dans vos pratiques, vous avez plutôt un profil d’expert.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos, hépatite B
• Je me lave les mains avant et après les interventions et aussi après avoir enlevé mes gants
• J’ai les ongles courts, non manucurés et je ne porte pas de bijoux
• Je dépoussière les sols du fond de la pièce vers l’entrée : j’utilise de préférence un balai humide
• Je nettoie le sol en allant du plus propre vers le plus sale : j’utilise de préférence un balai avec un seau combiné et un produit nettoyant ménager
• Pour le dépoussiérage des surfaces (mobilier, encadrement de fenêtre, luminaire), je commence du plus haut vers le plus bas : j’utilise une chiffonette humide imbibée d’un produits nettoyants ménagers
• J’essuie avec attention les téléphones, télécommandes, poignées de porte et ustensiles de cuisine
• Je stimule la personne pour qu’elle participe à certaines activités en fonction de ses capacités
• Je l’incite au rangement
• Si j’ai des problèmes de santé en travaillant, j’en parle à mon médecin

Vous n’êtes pas particulièrement attentif aux matériels et équipements pour le ménage. Ce n’est pourtant pas une activité anodine. Cette activité peut être source de risques graves pour votre santé.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos, hépatite B
• Avant de commencer mon travail, je change de chaussures et je mets les chaussures que je réserve pour mon travail
• Je porte des gants et une blouse et je m’attache les cheveux si ceux-ci sont longs
• Pour le ménage, j’utilise des gants de ménage à manchette et pour l’aide à la personne des gants à usage unique
• Je différencie les lavettes, les éponges, les chiffons et les chifonnettes utilisés selon leur utilisation
• Je demande à la personne que j’aide et à son entourage le matériel nécessaire : – Un manche télescopique pour nettoyer les vitres – Un balai à franges avec un seau incluant un système d’essorage – Des lavettes, des éponges, des chifonnettes et des produits ménagers adaptés et en nombre suffisant – Des roulettes ou des plaques pour équiper les meubles et l’électroménager à déplacer – Une planche à repasser réglable en hauteur
• Je nettoie mon matériel après usage : seau, serpillière, balai
• Je nettoie mes gants de ménage, je les rince et les fais sécher
• Je peux demander à mon employeur de suivre une formation sur l’hygiène
• J’informe mon médecin des problèmes de santé que je rencontre au travail

Ce n’est pas mal du tout. Vous savez que vous pouvez vous exposer à des risques pour votre santé.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos, hépatite B
• Avant de commencer mon travail, je change de chaussures et je mets les chaussures que je réserve pour mon travail
• Je porte des gants et une blouse et je m’attache les cheveux si ceux-ci sont longs
• Pour le ménage, j’utilise des gants de ménage à manchette et pour l’aide à la personne des gants à usage unique
• Je différencie les lavettes, les éponges, les chiffons et les chifonnettes utilisés selon leur utilisation
• Je demande à la personne que j’aide et à son entourage le matériel nécessaire : – Un manche télescopique pour nettoyer les vitres – Un balai à franges avec un seau incluant un système d’essorage – Des lavettes, des éponges, des chifonnettes et des produits ménagers adaptés et en nombre suffisant – Des roulettes ou des plaques pour équiper les meubles et l’électroménager à déplacer – Une planche à repasser réglable en hauteur
• Je nettoie mon matériel après usage : seau, serpillière, balai
• Je nettoie mes gants de ménage, je les rince et les fais sécher
• Je peux demander à mon employeur de suivre une formation sur l’hygiène
• J’informe mon médecin des problèmes de santé que je rencontre au travail

Bravo, vous êtes très à l’aise dans vos pratiques, vous avez plutôt un profil d’expert. Vous maîtrisez les risques de cette activité.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos, hépatite B
• Avant de commencer mon travail, je change de chaussures et je mets les chaussures que je réserve pour mon travail
• Je porte des gants et une blouse et je m’attache les cheveux si ceux-ci sont longs
• Pour le ménage, j’utilise des gants de ménage à manchette et pour l’aide à la personne des gants à usage unique
• Je différencie les lavettes, les éponges, les chiffons et les chifonnettes utilisés selon leur utilisation
• Je demande à la personne que j’aide et à son entourage le matériel nécessaire : – Un manche télescopique pour nettoyer les vitres – Un balai à franges avec un seau incluant un système d’essorage – Des lavettes, des éponges, des chifonnettes et des produits ménagers adaptés et en nombre suffisant – Des roulettes ou des plaques pour équiper les meubles et l’électroménager à déplacer – Une planche à repasser réglable en hauteur
• Je nettoie mon matériel après usage : seau, serpillière, balai
• Je nettoie mes gants de ménage, je les rince et les fais sécher
• Je peux demander à mon employeur de suivre une formation sur l’hygiène
• J’informe mon médecin des problèmes de santé que je rencontre au travail

Les aspects relationnels ne sont pas une de vos priorités. Cependant informer les personnes que vous aidez et votre employeur des difficultés que vous rencontrez dans votre travail est essentiel pour améliorer vos conditions. Des tensions relationnelles peuvent émerger et générer des risques sur la santé.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos, hépatite B
• J’informe mon employeur des difficultés que je rencontre et lui demande des consignes précises
• Je demande à la personne de ne pas fumer en ma présence et j’aère la pièce avant d’intervenir ; j’ouvre la fenêtre pour aérer la pièce pendant que je travaille
• Je demande à la personne aidée et à son entourage que les animaux soient isolés pendant que je travaille
• Je me réfère aux procédures qui ont été déterminées lors de le mise en place du service : jour, horaires, gestion des clefs, information sur les absences
• Je vérifie mon planning et je le respecte
• J’informe la personne aidée et son entourage de toute modification susceptible de survenir dans mon planning d’intervention et j’informe mon employeur
• J’effectue des transmissions ciblées sur le cahier de liaison
• Je note les évolutions susceptibles d’entraîner des modifications de l’intervention et j’informe mon employeur
• Je me rapproche des autres professionnels pour un travail en équipe
• Si j’ai des problèmes de santé en travaillant, j’en parle à mon médecin
• Je ne reste pas seul et je parle de mes problèmes à mon employeur, mes collègues, au CHSCT, au médecin du travail ou à mon médecin traitant et à l’entourage de mon employeur si je suis en emploi direct

Ce n’est pas mal du tout. Vous savez qu’il est important de communiquer et d’exposer les problèmes que vous rencontrez dans votre activité.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos, hépatite B
• J’informe mon employeur des difficultés que je rencontre et lui demande des consignes précises
• Je demande à la personne de ne pas fumer en ma présence et j’aère la pièce avant d’intervenir ; j’ouvre la fenêtre pour aérer la pièce pendant que je travaille
• Je demande à la personne aidée et à son entourage que les animaux soient isolés pendant que je travaille
• Je me réfère aux procédures qui ont été déterminées lors de le mise en place du service : jour, horaires, gestion des clefs, information sur les absences
• Je vérifie mon planning et je le respecte
• J’informe la personne aidée et son entourage de toute modification susceptible de survenir dans mon planning d’intervention et j’informe mon employeur
• J’effectue des transmissions ciblées sur le cahier de liaison
• Je note les évolutions susceptibles d’entraîner des modifications de l’intervention et j’informe mon employeur
• Je me rapproche des autres professionnels pour un travail en équipe
• Si j’ai des problèmes de santé en travaillant, j’en parle à mon médecin
• Je ne reste pas seul et je parle de mes problèmes à mon employeur, mes collègues, au CHSCT, au médecin du travail ou à mon médecin traitant et à l’entourage de mon employeur si je suis en emploi direct

Vous êtes très à l’aise dans vos pratiques, vous avez plutôt un profil d’expert. Vous savez repérer les situations difficiles et informer les bonnes personnes pour trouver les solutions adaptées.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos, hépatite B
• J’informe mon employeur des difficultés que je rencontre et lui demande des consignes précises
• Je demande à la personne de ne pas fumer en ma présence et j’aère la pièce avant d’intervenir ; j’ouvre la fenêtre pour aérer la pièce pendant que je travaille
• Je demande à la personne aidée et à son entourage que les animaux soient isolés pendant que je travaille
• Je me réfère aux procédures qui ont été déterminées lors de le mise en place du service : jour, horaires, gestion des clefs, information sur les absences
• Je vérifie mon planning et je le respecte
• J’informe la personne aidée et son entourage de toute modification susceptible de survenir dans mon planning d’intervention et j’informe mon employeur
• J’effectue des transmissions ciblées sur le cahier de liaison
• Je note les évolutions susceptibles d’entraîner des modifications de l’intervention et j’informe mon employeur
• Je me rapproche des autres professionnels pour un travail en équipe
• Si j’ai des problèmes de santé en travaillant, j’en parle à mon médecin
• Je ne reste pas seul et je parle de mes problèmes à mon employeur, mes collègues, au CHSCT, au médecin du travail ou à mon médecin traitant et à l’entourage de mon employeur si je suis en emploi direct

Vous vous exposez à des situations dangereuses pour votre santé. Ne vous inquiétez pas car vous allez vite progresser.

Les bonnes pratiques

• J’organise la pièce pour faciliter l’accès à la table, aux chaises et au plateau repas ou au couvert
• Je facilite l’accès au lit et à la personne en déplaçant tous les obstacles qui me gênent dans mes déplacements
• J’utilise une table à roulettes pour poser le repas lors de mes déplacements
• J’organise et prépare à l’avance le matériel pour éviter les déplacements inutiles
• Je place des coussins pour caler le dos de la personne et je m’en rapproche le plus possible en adoptant une position assise la plus confortable possible
• Je nettoie rapidement les salissures sur le sol susceptibles de me faire glisser
• Je porte des chaussures qui me tiennent les pieds et dont les semelles sont en bon état
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

L’organisation du travail autour de l’aide au repas est une de vos préoccupations, c’est bien.

Les bonnes pratiques

• J’organise la pièce pour faciliter l’accès à la table, aux chaises et au plateau repas ou au couvert
• Je facilite l’accès au lit et à la personne en déplaçant tous les obstacles qui me gênent dans mes déplacements
• J’utilise une table à roulettes pour poser le repas lors de mes déplacements
• J’organise et prépare à l’avance le matériel pour éviter les déplacements inutiles
• Je place des coussins pour caler le dos de la personne et je m’en rapproche le plus possible en adoptant une position assise la plus confortable possible
• Je nettoie rapidement les salissures sur le sol susceptibles de me faire glisser
• Je porte des chaussures qui me tiennent les pieds et dont les semelles sont en bon état
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

Félicitations, vous êtes très à l’aise dans vos pratiques, vous avez plutôt un profil d’expert.

Les bonnes pratiques

• J’organise la pièce pour faciliter l’accès à la table, aux chaises et au plateau repas ou au couvert
• Je facilite l’accès au lit et à la personne en déplaçant tous les obstacles qui me gênent dans mes déplacements
• J’utilise une table à roulettes pour poser le repas lors de mes déplacements
• J’organise et prépare à l’avance le matériel pour éviter les déplacements inutiles
• Je place des coussins pour caler le dos de la personne et je m’en rapproche le plus possible en adoptant une position assise la plus confortable possible
• Je nettoie rapidement les salissures sur le sol susceptibles de me faire glisser
• Je porte des chaussures qui me tiennent les pieds et dont les semelles sont en bon état
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

Vous n’êtes pas particulièrement attentif aux risques liés à l’aide au repas. Ce n’est pourtant pas une activité anodine. Cette activité peut être source de risques graves pour votre santé.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations contre le tétanos et l’hépatite B
• Je suis toujours très prudent et attentif en manipulant des aliments et liquides chauds
• Je protège mes mains en utilisant des gants de cuisine isolants plutôt qu’une manique ou un torchon
• Si possible, je porte une surblouse
• Je ne surcharge pas le plateau et j’utilise des plats et assiettes qui supportent la chaleur
• Je découpe les aliments posés dans l’assiette sur un plan de travail plutôt que dans l’assiette sur le plateau
• Je contrôle régulièrement l’état des couteaux et des objets tranchants
• Je suggère à la personne aidée ou son entourage de privilégier l’achat d’ustensiles avec des manches ergonomiques qui protègent du glissement de la main sur la lame
• Je suggère à la personne aidée ou son entourage de s’équiper de supports en caoutchouc pour empêcher les planches de découpe de bouger pendant leur utilisation
• Je suggère à la personne aidée ou son entourage de s’équiper d’assiettes avec supports en caoutchouc pour éviter de glisser
• Je travaille avec un éclairage adapté

Ce n’est pas mal du tout. Vous savez que vous pouvez vous blesser en cuisinant.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations contre le tétanos et l’hépatite B
• Je suis toujours très prudent et attentif en manipulant des aliments et liquides chauds
• Je protège mes mains en utilisant des gants de cuisine isolants plutôt qu’une manique ou un torchon
• Si possible, je porte une surblouse
• Je ne surcharge pas le plateau et j’utilise des plats et assiettes qui supportent la chaleur
• Je découpe les aliments posés dans l’assiette sur un plan de travail plutôt que dans l’assiette sur le plateau
• Je contrôle régulièrement l’état des couteaux et des objets tranchants
• Je suggère à la personne aidée ou son entourage de privilégier l’achat d’ustensiles avec des manches ergonomiques qui protègent du glissement de la main sur la lame
• Je suggère à la personne aidée ou son entourage de s’équiper de supports en caoutchouc pour empêcher les planches de découpe de bouger pendant leur utilisation
• Je suggère à la personne aidée ou son entourage de s’équiper d’assiettes avec supports en caoutchouc pour éviter de glisser
• Je travaille avec un éclairage adapté

Vous êtes un pro du matériel et des équipements. C’est excellent, vous êtes très à l’aise dans vos pratiques, vous avez plutôt un profil d’expert. Vous maîtrisez les risques de cette activité.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations contre le tétanos et l’hépatite B
• Je suis toujours très prudent et attentif en manipulant des aliments et liquides chauds
• Je protège mes mains en utilisant des gants de cuisine isolants plutôt qu’une manique ou un torchon
• Si possible, je porte une surblouse
• Je ne surcharge pas le plateau et j’utilise des plats et assiettes qui supportent la chaleur
• Je découpe les aliments posés dans l’assiette sur un plan de travail plutôt que dans l’assiette sur le plateau
• Je contrôle régulièrement l’état des couteaux et des objets tranchants
• Je suggère à la personne aidée ou son entourage de privilégier l’achat d’ustensiles avec des manches ergonomiques qui protègent du glissement de la main sur la lame
• Je suggère à la personne aidée ou son entourage de s’équiper de supports en caoutchouc pour empêcher les planches de découpe de bouger pendant leur utilisation
• Je suggère à la personne aidée ou son entourage de s’équiper d’assiettes avec supports en caoutchouc pour éviter de glisser
• Je travaille avec un éclairage adapté

Vous n’êtes pas particulièrement attentif aux risques liés à l’aide au repas. Ce n’est pourtant pas une activité anodine d’aider les personnes malades et dépendantes. Cette activité peut être source de risques graves pour votre santé.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccination : tétanos et hépatite B
• Je me lave les mains avant et après l’aide au repas
• Je porte une sur-blouse que je laisse chez la personne
• Je porte des gants à usage unique que je jette après le repas
• Je m’informe auprès de la personne aidée et de son entourage et du responsable de secteur pour savoir si je dois utiliser un masque
• Je privilégie l’usage de serviettes en papier et de mouchoirs en papier
• Je demande des consignes de travail précises dans la limite de mes compétences professionnelles
• J’essaie de me rapprocher des autres professionnels intervenants à domicile et de l’entourage pour travailler dans un esprit d’équipe
• Si je suis agressé verbalement ou physiquement, j’en informe immédiatement mon responsable ou mon employeur ou son entourage
• Je ne reste pas seul et je parle de mes problèmes à mon employeur, mes collègues, au CHSCT, au médecin du travail ou à mon médecin traitant et à l’entourage de mon employeur si je suis en emploi direct.

Ce n’est pas mal du tout. Vous savez que vous pouvez rencontrer des problèmes de santé en travaillant auprès de personnes fragilisées.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccination : tétanos et hépatite B
• Je me lave les mains avant et après l’aide au repas
• Je porte une sur-blouse que je laisse chez la personne
• Je porte des gants à usage unique que je jette après le repas
• Je m’informe auprès de la personne aidée et de son entourage et du responsable de secteur pour savoir si je dois utiliser un masque
• Je privilégie l’usage de serviettes en papier et de mouchoirs en papier
• Je demande des consignes de travail précises dans la limite de mes compétences professionnelles
• J’essaie de me rapprocher des autres professionnels intervenants à domicile et de l’entourage pour travailler dans un esprit d’équipe
• Si je suis agressé verbalement ou physiquement, j’en informe immédiatement mon responsable ou mon employeur ou son entourage
• Je ne reste pas seul et je parle de mes problèmes à mon employeur, mes collègues, au CHSCT, au médecin du travail ou à mon médecin traitant et à l’entourage de mon employeur si je suis en emploi direct.

Bravo, vous êtes très à l’aise dans vos pratiques, vous avez plutôt un profil d’expert. Vous maîtrisez les risques de cette activité, c’est super!

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccination : tétanos et hépatite B
• Je me lave les mains avant et après l’aide au repas
• Je porte une sur-blouse que je laisse chez la personne
• Je porte des gants à usage unique que je jette après le repas
• Je m’informe auprès de la personne aidée et de son entourage et du responsable de secteur pour savoir si je dois utiliser un masque
• Je privilégie l’usage de serviettes en papier et de mouchoirs en papier
• Je demande des consignes de travail précises dans la limite de mes compétences professionnelles
• J’essaie de me rapprocher des autres professionnels intervenants à domicile et de l’entourage pour travailler dans un esprit d’équipe
• Si je suis agressé verbalement ou physiquement, j’en informe immédiatement mon responsable ou mon employeur ou son entourage
• Je ne reste pas seul et je parle de mes problèmes à mon employeur, mes collègues, au CHSCT, au médecin du travail ou à mon médecin traitant et à l’entourage de mon employeur si je suis en emploi direct.

L’organisation, c’est pas trop votre truc, vous vous exposez à des situations dangereuses pour votre santé. Vous allez vite progresser.

Les bonnes pratiques

• J’aménage un espace suffisant pour que la personne puisse s’asseoir et se relever en toute sécurité pendant l’aide à la toilette : lavabo, douche, baignoire
• Je facilite l’accès au rangement à bonne hauteur et je veille à ce que les produits pour la toilette soient posés à proximité : bord de la baignoire, étagère au-dessus du lavabo, ventouses de suspension
• Si la salle de bains est trop petite ou inaccessible, je propose de faire l’aide à la toilette dans une autre pièce : la cuisine ou la chambre par exemple
• Je travaille avec un tapis de douche ou un adhésif antidérapant posé dans le bac à douche et la baignoire
• Je vérifie toujours que la douche ou les parois de la baignoire ne sont pas glissantes
• Je peux proposer de mettre dans la douche une chaise en plastique stable
• Je vérifie que le lavabo est bien scellé au mur, surtout si la personne prend appui dessus
• Si je dois placer une chaise, un fauteuil roulant, un déambulateur durant l’aide à la toilette, j’évite de les mettre trop près de moi
• Je choisis une chaise ou un tabouret qui positionne la personne à bonne hauteur : coussin, siège réglable
• J’alterne les positions et je me baisse en pliant les genoux. J’utilise un petit tabouret bas pour laver les pieds : 20 à 25 cm
• Je stimule la personne pour qu’elle participe à sa toilette selon ses capacités
• J’informe la personne et son entourage que j’aide qu’elle peut faire des travaux d’adaptation de la sa salle de bains et que des aides financières existent à cet effet : barres d’appui, siège pivotant ou articulé fixé au mur, baignoire adaptée
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

L’organisation du travail autour de l’aide à la toilette est une de vos préoccupations, c’est bien. Vous savez déjà un certain nombre de choses.

Les bonnes pratiques

• J’aménage un espace suffisant pour que la personne puisse s’asseoir et se relever en toute sécurité pendant l’aide à la toilette : lavabo, douche, baignoire
• Je facilite l’accès au rangement à bonne hauteur et je veille à ce que les produits pour la toilette soient posés à proximité : bord de la baignoire, étagère au-dessus du lavabo, ventouses de suspension
• Si la salle de bains est trop petite ou inaccessible, je propose de faire l’aide à la toilette dans une autre pièce : la cuisine ou la chambre par exemple
• Je travaille avec un tapis de douche ou un adhésif antidérapant posé dans le bac à douche et la baignoire
• Je vérifie toujours que la douche ou les parois de la baignoire ne sont pas glissantes
• Je peux proposer de mettre dans la douche une chaise en plastique stable
• Je vérifie que le lavabo est bien scellé au mur, surtout si la personne prend appui dessus
• Si je dois placer une chaise, un fauteuil roulant, un déambulateur durant l’aide à la toilette, j’évite de les mettre trop près de moi
• Je choisis une chaise ou un tabouret qui positionne la personne à bonne hauteur : coussin, siège réglable
• J’alterne les positions et je me baisse en pliant les genoux. J’utilise un petit tabouret bas pour laver les pieds : 20 à 25 cm
• Je stimule la personne pour qu’elle participe à sa toilette selon ses capacités
• J’informe la personne et son entourage que j’aide qu’elle peut faire des travaux d’adaptation de la sa salle de bains et que des aides financières existent à cet effet : barres d’appui, siège pivotant ou articulé fixé au mur, baignoire adaptée
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

Vous êtes très à l’aise dans vos pratiques, vous avez plutôt un profil d’expert. Vous maîtrisez les risques de cette activité.

Les bonnes pratiques

• J’aménage un espace suffisant pour que la personne puisse s’asseoir et se relever en toute sécurité pendant l’aide à la toilette : lavabo, douche, baignoire
• Je facilite l’accès au rangement à bonne hauteur et je veille à ce que les produits pour la toilette soient posés à proximité : bord de la baignoire, étagère au-dessus du lavabo, ventouses de suspension
• Si la salle de bains est trop petite ou inaccessible, je propose de faire l’aide à la toilette dans une autre pièce : la cuisine ou la chambre par exemple
• Je travaille avec un tapis de douche ou un adhésif antidérapant posé dans le bac à douche et la baignoire
• Je vérifie toujours que la douche ou les parois de la baignoire ne sont pas glissantes
• Je peux proposer de mettre dans la douche une chaise en plastique stable
• Je vérifie que le lavabo est bien scellé au mur, surtout si la personne prend appui dessus
• Si je dois placer une chaise, un fauteuil roulant, un déambulateur durant l’aide à la toilette, j’évite de les mettre trop près de moi
• Je choisis une chaise ou un tabouret qui positionne la personne à bonne hauteur : coussin, siège réglable
• J’alterne les positions et je me baisse en pliant les genoux. J’utilise un petit tabouret bas pour laver les pieds : 20 à 25 cm
• Je stimule la personne pour qu’elle participe à sa toilette selon ses capacités
• J’informe la personne et son entourage que j’aide qu’elle peut faire des travaux d’adaptation de la sa salle de bains et que des aides financières existent à cet effet : barres d’appui, siège pivotant ou articulé fixé au mur, baignoire adaptée
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

Vous n’êtes pas particulièrement attentif aux risques liés à l’aide à la toilette. Ce n’est pourtant pas une activité anodine. Cette activité peut être source de risques graves pour votre santé.

Les bonnes pratiques

• Je suis toujours très prudent et attentif en manipulant de l’eau chaude
• Je ne transporte jamais une bassine remplie d’eau très chaude : je mélange eau chaude et eau froide d’emblée
• J’utilise une bouilloire pour remplir la bassine sans la déplacer
• J’utilise un chariot à roulettes pour transporter mon matériel
• Je dégage l’espace de travail pour être à l’aise dans mes mouvements et accéder facilement à la bassine
• Je vérifie toujours la température de l’eau avant d’y plonger les mains Je peux utiliser un thermomètre pour vérifier la température de l’eau du bain
• J’éteins les appareils électriques de chauffage placés au sol quand j’interviens
• Je précise qu’il existe des règles de sécurité en matière d’installation électrique pour les salles de bains et que les chauffages d’appoint électriques ne doivent pas être posés sur le sol
• Je n’utilise pas d’appareils ou d’équipements électriques dangereux : fils dénudés, appareils vétustes et abîmés et en présence d’eau. J’en informe mon employeur
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Je demande à la personne qui occupe le logement ou à son entourage de me montrer où couper l’électricité en cas de danger

Ce n’est pas mal du tout. Vous savez que vous pouvez vous blesser au cours de l’aide à la toilette.

Les bonnes pratiques

• Je suis toujours très prudent et attentif en manipulant de l’eau chaude
• Je ne transporte jamais une bassine remplie d’eau très chaude : je mélange eau chaude et eau froide d’emblée
• J’utilise une bouilloire pour remplir la bassine sans la déplacer
• J’utilise un chariot à roulettes pour transporter mon matériel
• Je dégage l’espace de travail pour être à l’aise dans mes mouvements et accéder facilement à la bassine
• Je vérifie toujours la température de l’eau avant d’y plonger les mains Je peux utiliser un thermomètre pour vérifier la température de l’eau du bain
• J’éteins les appareils électriques de chauffage placés au sol quand j’interviens
• Je précise qu’il existe des règles de sécurité en matière d’installation électrique pour les salles de bains et que les chauffages d’appoint électriques ne doivent pas être posés sur le sol
• Je n’utilise pas d’appareils ou d’équipements électriques dangereux : fils dénudés, appareils vétustes et abîmés et en présence d’eau. J’en informe mon employeur
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Je demande à la personne qui occupe le logement ou à son entourage de me montrer où couper l’électricité en cas de danger

Vous êtes très à l’aise dans vos pratiques, vous avez plutôt un profil d’expert. Vous maîtrisez les risques de cette activité.

Les bonnes pratiques

• Je suis toujours très prudent et attentif en manipulant de l’eau chaude
• Je ne transporte jamais une bassine remplie d’eau très chaude : je mélange eau chaude et eau froide d’emblée
• J’utilise une bouilloire pour remplir la bassine sans la déplacer
• J’utilise un chariot à roulettes pour transporter mon matériel
• Je dégage l’espace de travail pour être à l’aise dans mes mouvements et accéder facilement à la bassine
• Je vérifie toujours la température de l’eau avant d’y plonger les mains Je peux utiliser un thermomètre pour vérifier la température de l’eau du bain
• J’éteins les appareils électriques de chauffage placés au sol quand j’interviens
• Je précise qu’il existe des règles de sécurité en matière d’installation électrique pour les salles de bains et que les chauffages d’appoint électriques ne doivent pas être posés sur le sol
• Je n’utilise pas d’appareils ou d’équipements électriques dangereux : fils dénudés, appareils vétustes et abîmés et en présence d’eau. J’en informe mon employeur
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Je demande à la personne qui occupe le logement ou à son entourage de me montrer où couper l’électricité en cas de danger

Vous n’êtes pas particulièrement conscient des risques liés à l’aide à la toilette.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos, hépatite
• J’ai les ongles courts, propres et sans vernis. Je ne porte pas de bijoux aux mains
• Je demande à mon employeur des consignes de travail précises
• Je porte des gants et une blouse pour aider à la toilette et changer une personne et aussi après avoir enlevé mes gants
• Je mets les protections souillées dans un sac fermé, avant de les jeter à la poubelle et j’utilise des gants
• Pour vider le contenu d’un bassin et d’un urinal dans les toilettes, je porte des gants et une blouse . Je les rince à l’eau avant de les nettoyer. Je nettoie ensuite les toilettes
• Je change les serviettes et gants de toilette dès qu’ils sont souillés : je ne les mélange pas avec le linge courant et j’essaie de les laver au plus vite à un programme au moins à 60°, j’utilise des gants pour manipuler le linge sale
• Je planifie de façon précise l’aide à la toilette dans mon intervention
• Les soins des ongles des orteils ne font pas partie de mon travail : les pédicures podologues sont des professionnels spécialisés dans ce domaine
• Je prends du temps avec la personne aidée pour mettre en place un climat serein
• Je respecte au mieux les habitudes de vie de la personne
• J’aide à la toilette dans le cadre de la préservation de l’autonomie de la personne aidée et je veille à la solliciter en fonction de ses capacités
• Je me rapproche des soignants pour un travail en équipe
• Je renseigne le cahier de liaison
• Je ne reste pas seul et je parle de mes problèmes à mon employeur, mes collègues, au CHSCT*, au médecin du travail ou à mon médecin traitant et à l’entourage de mon employeur si je suis en emploi direct

Ce n’est pas mal du tout. Vous savez que vous pouvez rencontrer des situations présentant des risques physiques et psychologiques.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos, hépatite
• J’ai les ongles courts, propres et sans vernis. Je ne porte pas de bijoux aux mains
• Je demande à mon employeur des consignes de travail précises
• Je porte des gants et une blouse pour aider à la toilette et changer une personne et aussi après avoir enlevé mes gants
• Je mets les protections souillées dans un sac fermé, avant de les jeter à la poubelle et j’utilise des gants
• Pour vider le contenu d’un bassin et d’un urinal dans les toilettes, je porte des gants et une blouse . Je les rince à l’eau avant de les nettoyer. Je nettoie ensuite les toilettes
• Je change les serviettes et gants de toilette dès qu’ils sont souillés : je ne les mélange pas avec le linge courant et j’essaie de les laver au plus vite à un programme au moins à 60°, j’utilise des gants pour manipuler le linge sale
• Je planifie de façon précise l’aide à la toilette dans mon intervention
• Les soins des ongles des orteils ne font pas partie de mon travail : les pédicures podologues sont des professionnels spécialisés dans ce domaine
• Je prends du temps avec la personne aidée pour mettre en place un climat serein
• Je respecte au mieux les habitudes de vie de la personne
• J’aide à la toilette dans le cadre de la préservation de l’autonomie de la personne aidée et je veille à la solliciter en fonction de ses capacités
• Je me rapproche des soignants pour un travail en équipe
• Je renseigne le cahier de liaison
• Je ne reste pas seul et je parle de mes problèmes à mon employeur, mes collègues, au CHSCT*, au médecin du travail ou à mon médecin traitant et à l’entourage de mon employeur si je suis en emploi direct

Vous êtes très à l’aise dans vos pratiques, vous avez plutôt un profil d’expert.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos, hépatite
• J’ai les ongles courts, propres et sans vernis. Je ne porte pas de bijoux aux mains
• Je demande à mon employeur des consignes de travail précises
• Je porte des gants et une blouse pour aider à la toilette et changer une personne et aussi après avoir enlevé mes gants
• Je mets les protections souillées dans un sac fermé, avant de les jeter à la poubelle et j’utilise des gants
• Pour vider le contenu d’un bassin et d’un urinal dans les toilettes, je porte des gants et une blouse . Je les rince à l’eau avant de les nettoyer. Je nettoie ensuite les toilettes
• Je change les serviettes et gants de toilette dès qu’ils sont souillés : je ne les mélange pas avec le linge courant et j’essaie de les laver au plus vite à un programme au moins à 60°, j’utilise des gants pour manipuler le linge sale
• Je planifie de façon précise l’aide à la toilette dans mon intervention
• Les soins des ongles des orteils ne font pas partie de mon travail : les pédicures podologues sont des professionnels spécialisés dans ce domaine
• Je prends du temps avec la personne aidée pour mettre en place un climat serein
• Je respecte au mieux les habitudes de vie de la personne
• J’aide à la toilette dans le cadre de la préservation de l’autonomie de la personne aidée et je veille à la solliciter en fonction de ses capacités
• Je me rapproche des soignants pour un travail en équipe
• Je renseigne le cahier de liaison
• Je ne reste pas seul et je parle de mes problèmes à mon employeur, mes collègues, au CHSCT*, au médecin du travail ou à mon médecin traitant et à l’entourage de mon employeur si je suis en emploi direct

Vous n’êtes pas très à l’aise sur la prévention des risques liés aux sorties et aux courses. Pour vous, cela ne constitue pas une priorité. De nombreuses chutes de salariés ont pour origine la chute des personnes qu’ils accompagnent. Ils se blessent en voulant les rattraper. Il faut pourtant être vigilant.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que la personne que j’aide porte des chaussures qui lui tiennent les pieds et dont les semelles ne sont pas glissantes et je porte moi aussi des chaussures qui me tiennent bien les pieds.
• Je me place à côté de la personne pour la sécuriser y compris quand elle utilise un déambulateur ou une canne.
• Je ne porte pas de sac pour avoir les mains libres
• Je ne sors pas quand le temps est mauvais : pluie, vent et je choisis des itinéraires que je connais et qui ne présentent pas de danger.
• Sans assurance spécifique, je n’effectue aucun transport dans mon véhicule personnel
• En cas d’accident, j’appelle le 15 pour le SAMU, le 18 pour les pompiers ou le 112 d’un téléphone mobile
• Je parle au médecin de mes problèmes de santé au travail

C’est bien, vous mesurez bien les risques d’accidents. Vous organisez vos interventions pour limiter les risques. Poursuivez, le zéro faute n’est pas loin.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que la personne que j’aide porte des chaussures qui lui tiennent les pieds et dont les semelles ne sont pas glissantes et je porte moi aussi des chaussures qui me tiennent bien les pieds.
• Je me place à côté de la personne pour la sécuriser y compris quand elle utilise un déambulateur ou une canne.
• Je ne porte pas de sac pour avoir les mains libres
• Je ne sors pas quand le temps est mauvais : pluie, vent et je choisis des itinéraires que je connais et qui ne présentent pas de danger.
• Sans assurance spécifique, je n’effectue aucun transport dans mon véhicule personnel
• En cas d’accident, j’appelle le 15 pour le SAMU, le 18 pour les pompiers ou le 112 d’un téléphone mobile
• Je parle au médecin de mes problèmes de santé au travail

Félicitations !

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que la personne que j’aide porte des chaussures qui lui tiennent les pieds et dont les semelles ne sont pas glissantes et je porte moi aussi des chaussures qui me tiennent bien les pieds.
• Je me place à côté de la personne pour la sécuriser y compris quand elle utilise un déambulateur ou une canne.
• Je ne porte pas de sac pour avoir les mains libres
• Je ne sors pas quand le temps est mauvais : pluie, vent et je choisis des itinéraires que je connais et qui ne présentent pas de danger.
• Sans assurance spécifique, je n’effectue aucun transport dans mon véhicule personnel
• En cas d’accident, j’appelle le 15 pour le SAMU, le 18 pour les pompiers ou le 112 d’un téléphone mobile
• Je parle au médecin de mes problèmes de santé au travail

Ne vous découragez pas, vous êtes novice dans ce domaine.

Les bonnes pratiques

• Les courses sont des activités comme les autres ; elles doivent êtres faites dans le cadre du nombre d’heures à effectuer ; en cas d’accident en dehors des heures de travail, celui-ci ne sera pas reconnu au titre du risque professionnel
• Je prends mon temps pour faire les courses. C’est une intervention qui est comptabilisée dans mon temps de travail
• Je demande l’aide de la famille et de l’entourage si besoin
• Je vérifie avec la personne aidée la somme contenue dans le porte-monnaie et j’inscris le montant sur un cahier
• J’inscris toutes les informations concernant les courses dans un cahier et je conserve les tickets de caisse
• Je parle au médecin de mes problèmes de santé au travail

Ce n’est pas mal du tout, vous savez que vous pouvez vous blesser en faisant les courses. Vous avez déjà bien repéré les situations à risque. Poursuivez, vous êtes sur la bonne voie.

Les bonnes pratiques

• Les courses sont des activités comme les autres ; elles doivent êtres faites dans le cadre du nombre d’heures à effectuer ; en cas d’accident en dehors des heures de travail, celui-ci ne sera pas reconnu au titre du risque professionnel
• Je prends mon temps pour faire les courses. C’est une intervention qui est comptabilisée dans mon temps de travail
• Je demande l’aide de la famille et de l’entourage si besoin
• Je vérifie avec la personne aidée la somme contenue dans le porte-monnaie et j’inscris le montant sur un cahier
• J’inscris toutes les informations concernant les courses dans un cahier et je conserve les tickets de caisse
• Je parle au médecin de mes problèmes de santé au travail

Bravo, vous êtes expert. Vous maîtrisez vos risques.

Les bonnes pratiques

• Les courses sont des activités comme les autres ; elles doivent êtres faites dans le cadre du nombre d’heures à effectuer ; en cas d’accident en dehors des heures de travail, celui-ci ne sera pas reconnu au titre du risque professionnel
• Je prends mon temps pour faire les courses. C’est une intervention qui est comptabilisée dans mon temps de travail
• Je demande l’aide de la famille et de l’entourage si besoin
• Je vérifie avec la personne aidée la somme contenue dans le porte-monnaie et j’inscris le montant sur un cahier
• J’inscris toutes les informations concernant les courses dans un cahier et je conserve les tickets de caisse
• Je parle au médecin de mes problèmes de santé au travail

Vous vous exposez à des situations dangereuses pour votre santé.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos et hépatite B
• Je porte des gants à manchette et une blouse
• J’utilise un sac ou un bac fermé, à défaut un sac plastique que je ferme
• J’aère la pièce dans laquelle je manipule le linge sale
• Je me lave les mains avant et après chaque contact avec le linge et les produits
• Je me lave les mains après avoir enlevé mes gants
• Je lis le mode d’emploi et les étiquettes des produits que j’utilise
• Si je dois me servir d’un produit en bombe aérosol, je veille à être loin de toute source de chaleur, d’une flamme ou d’un appareil électrique et je propose à la personne que j’aide de rechercher un produit avec un conditionnement moins dangereux
• Je parle à mon médecin de mes problèmes de santé au travail

Vous ne vous laissez pas avoir et vous vous doutez que le contact avec le linge sale et les produits ménagers peuvent présenter des risques mais vous ne savez pas toujours si vous avez les bonnes solutions pour vous protéger.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos et hépatite B
• Je porte des gants à manchette et une blouse
• J’utilise un sac ou un bac fermé, à défaut un sac plastique que je ferme
• J’aère la pièce dans laquelle je manipule le linge sale
• Je me lave les mains avant et après chaque contact avec le linge et les produits
• Je me lave les mains après avoir enlevé mes gants
• Je lis le mode d’emploi et les étiquettes des produits que j’utilise
• Si je dois me servir d’un produit en bombe aérosol, je veille à être loin de toute source de chaleur, d’une flamme ou d’un appareil électrique et je propose à la personne que j’aide de rechercher un produit avec un conditionnement moins dangereux
• Je parle à mon médecin de mes problèmes de santé au travail

Bravo, vous êtes à l’aise dans vos pratiques, vous avez plutôt un profil d’expert.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos et hépatite B
• Je porte des gants à manchette et une blouse
• J’utilise un sac ou un bac fermé, à défaut un sac plastique que je ferme
• J’aère la pièce dans laquelle je manipule le linge sale
• Je me lave les mains avant et après chaque contact avec le linge et les produits
• Je me lave les mains après avoir enlevé mes gants
• Je lis le mode d’emploi et les étiquettes des produits que j’utilise
• Si je dois me servir d’un produit en bombe aérosol, je veille à être loin de toute source de chaleur, d’une flamme ou d’un appareil électrique et je propose à la personne que j’aide de rechercher un produit avec un conditionnement moins dangereux
• Je parle à mon médecin de mes problèmes de santé au travail

Le matériel et les équipements, c’est pas vraiment votre truc. Mais vous allez vite progresser grâce aux bonnes pratiques.

Les bonnes pratiques

• Je précise qu’en l’absence d’équipement, je ne peux réaliser que l’entretien du petit linge ou me rendre dans une laverie automatique
• J’alterne les positions assise et debout pour repasser
• J’alterne dans ma journée de travail différentes tâches pour éviter les sollicitations des mêmes articulations
• Je propose à la personne aidée et à son entourage l’achat d’une table réglable pour garder le dos droit pendant que je repasse
• Je propose à la personne aidée et à son entourage de privilégier l’achat de matériel léger pour le repassage
• Je planifie mes tâches de rangement pour travailler à bonne hauteur en y associant la personne aidée
• Je n’utilise pas les équipements et matériels électriques défectueux ou abîmés
• Je demande toujours des explications sur l’utilisation de matériels que je ne connais pas avant de m’en servir
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

Ce n’est pas mal du tout, vous savez que travailler avec du matériel lourd, défectueux ou inadapté présente des risques pour votre santé mais vous ne savez pas toujours si vous faites les bons choix.

Les bonnes pratiques

• Je précise qu’en l’absence d’équipement, je ne peux réaliser que l’entretien du petit linge ou me rendre dans une laverie automatique
• J’alterne les positions assise et debout pour repasser
• J’alterne dans ma journée de travail différentes tâches pour éviter les sollicitations des mêmes articulations
• Je propose à la personne aidée et à son entourage l’achat d’une table réglable pour garder le dos droit pendant que je repasse
• Je propose à la personne aidée et à son entourage de privilégier l’achat de matériel léger pour le repassage
• Je planifie mes tâches de rangement pour travailler à bonne hauteur en y associant la personne aidée
• Je n’utilise pas les équipements et matériels électriques défectueux ou abîmés
• Je demande toujours des explications sur l’utilisation de matériels que je ne connais pas avant de m’en servir
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

Bravo, vous êtes incollable sur le sujet.

Les bonnes pratiques

• Je précise qu’en l’absence d’équipement, je ne peux réaliser que l’entretien du petit linge ou me rendre dans une laverie automatique
• J’alterne les positions assise et debout pour repasser
• J’alterne dans ma journée de travail différentes tâches pour éviter les sollicitations des mêmes articulations
• Je propose à la personne aidée et à son entourage l’achat d’une table réglable pour garder le dos droit pendant que je repasse
• Je propose à la personne aidée et à son entourage de privilégier l’achat de matériel léger pour le repassage
• Je planifie mes tâches de rangement pour travailler à bonne hauteur en y associant la personne aidée
• Je n’utilise pas les équipements et matériels électriques défectueux ou abîmés
• Je demande toujours des explications sur l’utilisation de matériels que je ne connais pas avant de m’en servir
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

Vous vous exposez à des situations dangereuses pour la santé. Vous avez besoin d’en savoir plus pour trouver de meilleures solutions.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos et hépatite B
• Je lis le mode d’emploi et vérifie les étiquettes des produits que j’utilise
• Je n’utilise que des produits stockés dans leur emballage d’origine, jamais transvasés dans un autre récipient
• Je ne mélange jamais les produits. Je ne mets jamais en contact l’eau de javel avec un autre produit
• Si un tuyau est bouché, je demande l’intervention d’un service spécialisé (plombier) et je n’essaie pas de le déboucher moi-même en utilisant des produits spéciaux
• Je porte des gants à manchette et une blouse
• J’utilise le vinaigre blanc pour dissoudre le calcaire
• Je me lave systématiquement les mains après avoir enlevé les gants
• En cas de contact avec des insectes ou des rongeurs, des interventions spécialisées (service de nettoyage, service d’hygiène, service de dératisation, de désinsectisation) sont à programmer avec la personne aidée
• Je parle à mon médecin de mes problèmes de santé au travail

Bien, vous savez déjà un certain nombre de choses et vous vous doutez que le contact avec certains environnements et les produits ménagers peut présenter des risques mais vous ne savez pas toujours si vous faîtes les bons choix.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos et hépatite B
• Je lis le mode d’emploi et vérifie les étiquettes des produits que j’utilise
• Je n’utilise que des produits stockés dans leur emballage d’origine, jamais transvasés dans un autre récipient
• Je ne mélange jamais les produits. Je ne mets jamais en contact l’eau de javel avec un autre produit
• Si un tuyau est bouché, je demande l’intervention d’un service spécialisé (plombier) et je n’essaie pas de le déboucher moi-même en utilisant des produits spéciaux
• Je porte des gants à manchette et une blouse
• J’utilise le vinaigre blanc pour dissoudre le calcaire
• Je me lave systématiquement les mains après avoir enlevé les gants
• En cas de contact avec des insectes ou des rongeurs, des interventions spécialisées (service de nettoyage, service d’hygiène, service de dératisation, de désinsectisation) sont à programmer avec la personne aidée
• Je parle à mon médecin de mes problèmes de santé au travail

Félicitations, vous êtes très à l’aise dans vos pratiques, vous avez plutôt un profil d’expert. Mais est-ce que vous connaissez bien tous les effets des produits ménagers et des microbes sur votre santé ?

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos et hépatite B
• Je lis le mode d’emploi et vérifie les étiquettes des produits que j’utilise
• Je n’utilise que des produits stockés dans leur emballage d’origine, jamais transvasés dans un autre récipient
• Je ne mélange jamais les produits. Je ne mets jamais en contact l’eau de javel avec un autre produit
• Si un tuyau est bouché, je demande l’intervention d’un service spécialisé (plombier) et je n’essaie pas de le déboucher moi-même en utilisant des produits spéciaux
• Je porte des gants à manchette et une blouse
• J’utilise le vinaigre blanc pour dissoudre le calcaire
• Je me lave systématiquement les mains après avoir enlevé les gants
• En cas de contact avec des insectes ou des rongeurs, des interventions spécialisées (service de nettoyage, service d’hygiène, service de dératisation, de désinsectisation) sont à programmer avec la personne aidée
• Je parle à mon médecin de mes problèmes de santé au travail

L’organisation du travail, ce n’est pas trop votre truc. Sans préparation, vous foncez. Attention s’organiser ce n’est pas perdre du temps, au contraire.

Les bonnes pratiques

• J’enlève tous les petits tapis qui gênent mes déplacements avant mon intervention
• Je porte des chaussures qui me tiennent les pieds avec des semelles en bon état
• Je demande à ce que les objets qui gênent le passage soient rangés
• Je suggère, si le sol est glissant, de poser des bandes antidérapantes
• Je propose à la personne aidée et à son entourage un éclairage satisfaisant : changement d’ampoule et ajout d éclairage
• Pour éviter la position jambes tendues et dos rond, j’appuie ma main libre sur le bord de la baignoire, de la douche ou des toilettes
• Pour nettoyer la baignoire je m’accroupis à l’intérieur pour préserver mon dos
• J’utilise un système de nettoyage avec un long manche recourbé pour nettoyer la cuvette des toilettes, pour nettoyer la douche, la baignoire
• J’utilise un tapis mousse semblable à celui utilisé par les jardiniers lorsque je travaille à genoux dans la salle de bain
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

Vous savez que vous pouvez vous blesser en travaillant. Des postures contraignantes et des locaux exigus sont sources de douleurs articulaires.

Les bonnes pratiques

• J’enlève tous les petits tapis qui gênent mes déplacements avant mon intervention
• Je porte des chaussures qui me tiennent les pieds avec des semelles en bon état
• Je demande à ce que les objets qui gênent le passage soient rangés
• Je suggère, si le sol est glissant, de poser des bandes antidérapantes
• Je propose à la personne aidée et à son entourage un éclairage satisfaisant : changement d’ampoule et ajout d éclairage
• Pour éviter la position jambes tendues et dos rond, j’appuie ma main libre sur le bord de la baignoire, de la douche ou des toilettes
• Pour nettoyer la baignoire je m’accroupis à l’intérieur pour préserver mon dos
• J’utilise un système de nettoyage avec un long manche recourbé pour nettoyer la cuvette des toilettes, pour nettoyer la douche, la baignoire
• J’utilise un tapis mousse semblable à celui utilisé par les jardiniers lorsque je travaille à genoux dans la salle de bain
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

Bravo, vous êtes très à l’aise dans vos pratiques, vous avez plutôt un profil d’expert. Vous êtes champion de l’organisation.

Les bonnes pratiques

• J’enlève tous les petits tapis qui gênent mes déplacements avant mon intervention
• Je porte des chaussures qui me tiennent les pieds avec des semelles en bon état
• Je demande à ce que les objets qui gênent le passage soient rangés
• Je suggère, si le sol est glissant, de poser des bandes antidérapantes
• Je propose à la personne aidée et à son entourage un éclairage satisfaisant : changement d’ampoule et ajout d éclairage
• Pour éviter la position jambes tendues et dos rond, j’appuie ma main libre sur le bord de la baignoire, de la douche ou des toilettes
• Pour nettoyer la baignoire je m’accroupis à l’intérieur pour préserver mon dos
• J’utilise un système de nettoyage avec un long manche recourbé pour nettoyer la cuvette des toilettes, pour nettoyer la douche, la baignoire
• J’utilise un tapis mousse semblable à celui utilisé par les jardiniers lorsque je travaille à genoux dans la salle de bain
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

Vous vous exposez à des situations dangereuses pour votre santé. Vous avez besoin d’en savoir plus pour trouver de meilleures solutions. Ne vous découragez pas, vous allez vite apprendre.

Les bonnes pratiques

• Je suis à jour de mes vaccinations : tétanos et hépatite B
• Je porte des gants à manchette et une blouse
• Je lis le mode d’emploi et vérifie les étiquettes des produits que j’utilise
• Je n’utilise que des produits stockés dans leur emballage d’origine, jamais transvasés dans un autre récipient
• Je ne mélange jamais les produits
• Je range les produits par catégorie dans un endroit sec et ventilé
• J’aère la pièce
• Je me lave systématiquement les mains après avoir enlevé les gants
• Je ne m’occupe pas des déchets de soin. Les professionnels de santé ou les personnes en auto-traitement ont l’obligation de reprendre le matériel médical ayant servi aux soins : seringues, aiguilles. Des containers spécifiques doivent êtres utilisés
• Je m’assure que les animaux sont vaccinés contre la rage
• Si je suis blessé ou mordu, je vais consulter mon médecin et je demande à mon employeur de faire une déclaration d’accident du travail
• Je parle de mes problèmes de santé au travail à mon médecin

Bien, vous ne vous laissez pas avoir et vous vous doutez que ces activités peuvent présenter des risques pour votre santé mais vous ne savez pas toujours si vous faites les bons choix.

Les bonnes pratiques

• Je suis à jour de mes vaccinations : tétanos et hépatite B
• Je porte des gants à manchette et une blouse
• Je lis le mode d’emploi et vérifie les étiquettes des produits que j’utilise
• Je n’utilise que des produits stockés dans leur emballage d’origine, jamais transvasés dans un autre récipient
• Je ne mélange jamais les produits
• Je range les produits par catégorie dans un endroit sec et ventilé
• J’aère la pièce
• Je me lave systématiquement les mains après avoir enlevé les gants
• Je ne m’occupe pas des déchets de soin. Les professionnels de santé ou les personnes en auto-traitement ont l’obligation de reprendre le matériel médical ayant servi aux soins : seringues, aiguilles. Des containers spécifiques doivent êtres utilisés
• Je m’assure que les animaux sont vaccinés contre la rage
• Si je suis blessé ou mordu, je vais consulter mon médecin et je demande à mon employeur de faire une déclaration d’accident du travail
• Je parle de mes problèmes de santé au travail à mon médecin

Super, vous êtes très à l’aise dans vos pratiques, vous avez plutôt un profil d’expert. Mais est-ce que vous connaissez bien tous les effets des produits ménagers et des microbes sur votre santé ?

Les bonnes pratiques

• Je suis à jour de mes vaccinations : tétanos et hépatite B
• Je porte des gants à manchette et une blouse
• Je lis le mode d’emploi et vérifie les étiquettes des produits que j’utilise
• Je n’utilise que des produits stockés dans leur emballage d’origine, jamais transvasés dans un autre récipient
• Je ne mélange jamais les produits
• Je range les produits par catégorie dans un endroit sec et ventilé
• J’aère la pièce
• Je me lave systématiquement les mains après avoir enlevé les gants
• Je ne m’occupe pas des déchets de soin. Les professionnels de santé ou les personnes en auto-traitement ont l’obligation de reprendre le matériel médical ayant servi aux soins : seringues, aiguilles. Des containers spécifiques doivent êtres utilisés
• Je m’assure que les animaux sont vaccinés contre la rage
• Si je suis blessé ou mordu, je vais consulter mon médecin et je demande à mon employeur de faire une déclaration d’accident du travail
• Je parle de mes problèmes de santé au travail à mon médecin

Le matériel pour le ménage, ce n’est pas votre préoccupation première. Vous utilisez ce que vous trouvez et hop au boulot. Mais sachez qu’un matériel adapté, c’est le gage d’un travail de qualité tout en préservant votre santé.

Les bonnes pratiques

• J’utilise un seau avec un système combiné d’essorage
• J’explique à mon employeur que je ne suis pas censé travailler en hauteur
• J’utilise un escabeau stable et en bon état, je me tiens à l’anse de la main libre
• J’utilise une raclette avec un manche télescopique pour faire les vitres
• Je porte des chaussures qui me tiennent les pieds avec des semelles en bon état
• Si je dois essorer ma serpillière à la main, je pose le seau sur une chaise
• Je déplace le mobilier équipé de patins ou plaques en téflon
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

Ce n’est pas mal du tout, vous savez qu’un matériel défectueux ou inadapté peut être source de risques pour votre santé. Vous êtes un intervenant averti.

Les bonnes pratiques

• J’utilise un seau avec un système combiné d’essorage
• J’explique à mon employeur que je ne suis pas censé travailler en hauteur
• J’utilise un escabeau stable et en bon état, je me tiens à l’anse de la main libre
• J’utilise une raclette avec un manche télescopique pour faire les vitres
• Je porte des chaussures qui me tiennent les pieds avec des semelles en bon état
• Si je dois essorer ma serpillière à la main, je pose le seau sur une chaise
• Je déplace le mobilier équipé de patins ou plaques en téflon
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

Félicitations, vous êtes très à l’aise dans vos pratiques, vous avez un profil d’expert. Vous êtes au top sur le matériel. Connaissez-vous les effets sur votre santé d’un matériel défectueux ?

Les bonnes pratiques

• J’utilise un seau avec un système combiné d’essorage
• J’explique à mon employeur que je ne suis pas censé travailler en hauteur
• J’utilise un escabeau stable et en bon état, je me tiens à l’anse de la main libre
• J’utilise une raclette avec un manche télescopique pour faire les vitres
• Je porte des chaussures qui me tiennent les pieds avec des semelles en bon état
• Si je dois essorer ma serpillière à la main, je pose le seau sur une chaise
• Je déplace le mobilier équipé de patins ou plaques en téflon
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

Vous vous exposez à des situations dangereuses pour votre santé. Vous allez vite progresser et ne vous découragez pas.

Les bonnes pratiques

• Je n’utilise pas d’installation ni d’appareils électriques dangereux : fils dénudés, appareils vétustes et abîmés
• Je veille à ne pas projeter d’eau sur les installations électriques
• Je ne touche pas d’équipements ou d’appareils électriques les mains mouillées
• Je demande à la personne qui occupe le logement ou à son entourage de me montrer où couper l’électricité en cas de danger
• Les poudres, gels et liquides détergents pour les lave-vaisselle sont très corrosifs, je porte donc une blouse et des gants pour manipuler ces produits de lavage
• Si je dois ranger des bouteilles de gaz, je les place dans une pièce ventilée, loin d’une source de chaleur et je ne les couche pas
• J’aère au moins 10 minutes à chaque intervention le logement, même s’il fait froid, en ouvrant toutes les portes et fenêtres
• Les bouches d’aération doivent être nettoyées régulièrement et dégagées
• Je ne reste pas dans une pièce dans laquelle je ne me sens pas bien et j’invite la personne aidée et son entourage à faire de même
• Je coupe tous les appareils de combustion en cas de danger

Bien, vous êtes un utilisateur averti en matière d’équipements électroménagers.

Les bonnes pratiques

• Je n’utilise pas d’installation ni d’appareils électriques dangereux : fils dénudés, appareils vétustes et abîmés
• Je veille à ne pas projeter d’eau sur les installations électriques
• Je ne touche pas d’équipements ou d’appareils électriques les mains mouillées
• Je demande à la personne qui occupe le logement ou à son entourage de me montrer où couper l’électricité en cas de danger
• Les poudres, gels et liquides détergents pour les lave-vaisselle sont très corrosifs, je porte donc une blouse et des gants pour manipuler ces produits de lavage
• Si je dois ranger des bouteilles de gaz, je les place dans une pièce ventilée, loin d’une source de chaleur et je ne les couche pas
• J’aère au moins 10 minutes à chaque intervention le logement, même s’il fait froid, en ouvrant toutes les portes et fenêtres
• Les bouches d’aération doivent être nettoyées régulièrement et dégagées
• Je ne reste pas dans une pièce dans laquelle je ne me sens pas bien et j’invite la personne aidée et son entourage à faire de même
• Je coupe tous les appareils de combustion en cas de danger

Excellent, vous êtes très à l’aise dans vos pratiques, vous avez plutôt un profil d’expert.

Les bonnes pratiques

• Je n’utilise pas d’installation ni d’appareils électriques dangereux : fils dénudés, appareils vétustes et abîmés
• Je veille à ne pas projeter d’eau sur les installations électriques
• Je ne touche pas d’équipements ou d’appareils électriques les mains mouillées
• Je demande à la personne qui occupe le logement ou à son entourage de me montrer où couper l’électricité en cas de danger
• Les poudres, gels et liquides détergents pour les lave-vaisselle sont très corrosifs, je porte donc une blouse et des gants pour manipuler ces produits de lavage
• Si je dois ranger des bouteilles de gaz, je les place dans une pièce ventilée, loin d’une source de chaleur et je ne les couche pas
• J’aère au moins 10 minutes à chaque intervention le logement, même s’il fait froid, en ouvrant toutes les portes et fenêtres
• Les bouches d’aération doivent être nettoyées régulièrement et dégagées
• Je ne reste pas dans une pièce dans laquelle je ne me sens pas bien et j’invite la personne aidée et son entourage à faire de même
• Je coupe tous les appareils de combustion en cas de danger

Vous n’êtes pas particulièrement attentif aux risques liés à l’entretien des équipements électroménagers. Ce n’est pas une activité anodine. Elle peut être source de risques graves pour votre santé.

Les bonnes pratiques

• Je lis le mode d’emploi et vérifie les étiquettes des produits que j’utilise
• Je porte des gants et une blouse pour nettoyer le four
• Je peux remplacer le produit spécial four par du bicarbonate de soude dilué dans de l’eau
• Si les produits que j’utilise sont conditionnés en bombe, je dirige le jet au maximum à l’intérieur du four froid pour éviter la dispersion du produit dans l’air que je respire. J’aère la pièce. Je ne m’en sers que très occasionnellement
• Je demande la personne aidée et à son entourage de poser sous les équipements électroménagers des patins en téflon pour faciliter la manutention Je limite les manutentions dans l’attente de cette installation
• Je demande une participation de la personne ou de son entourage pour m’aider dans les manutentions
• Je n’effectue pas de manutention sur sol mouillé
• Je vérifie que les équipements, appareils ou produits comme les cendres ne dégagent plus de chaleur. J’attends leur refroidissement complet pour intervenir
• Je ferme le robinet de la gazinière après chaque usage
• Si je constate que le tuyau qui relie l’appareil à la bouteille de gaz ou à l’arrivée du gaz de ville n’est plus en bon état ou est périmé (usure, fissure ou arrachement) j’informe la personne aidée et son entourage et je demande le changement du matériel défectueux, voire dangereux
• Si je rencontre des problèmes de santé au travail, j’en parle à mon médecin

Vous savez que vous pouvez vous blesser en travaillant. Vous avez un profil de professionnel averti.

Les bonnes pratiques

• Je lis le mode d’emploi et vérifie les étiquettes des produits que j’utilise
• Je porte des gants et une blouse pour nettoyer le four
• Je peux remplacer le produit spécial four par du bicarbonate de soude dilué dans de l’eau
• Si les produits que j’utilise sont conditionnés en bombe, je dirige le jet au maximum à l’intérieur du four froid pour éviter la dispersion du produit dans l’air que je respire. J’aère la pièce. Je ne m’en sers que très occasionnellement
• Je demande la personne aidée et à son entourage de poser sous les équipements électroménagers des patins en téflon pour faciliter la manutention Je limite les manutentions dans l’attente de cette installation
• Je demande une participation de la personne ou de son entourage pour m’aider dans les manutentions
• Je n’effectue pas de manutention sur sol mouillé
• Je vérifie que les équipements, appareils ou produits comme les cendres ne dégagent plus de chaleur. J’attends leur refroidissement complet pour intervenir
• Je ferme le robinet de la gazinière après chaque usage
• Si je constate que le tuyau qui relie l’appareil à la bouteille de gaz ou à l’arrivée du gaz de ville n’est plus en bon état ou est périmé (usure, fissure ou arrachement) j’informe la personne aidée et son entourage et je demande le changement du matériel défectueux, voire dangereux
• Si je rencontre des problèmes de santé au travail, j’en parle à mon médecin

Vous êtes très à l’aise dans vos pratiques, vous avez plutôt un profil d’expert. Vous maîtrisez les risques de cette activité.

Les bonnes pratiques

• Je lis le mode d’emploi et vérifie les étiquettes des produits que j’utilise
• Je porte des gants et une blouse pour nettoyer le four
• Je peux remplacer le produit spécial four par du bicarbonate de soude dilué dans de l’eau
• Si les produits que j’utilise sont conditionnés en bombe, je dirige le jet au maximum à l’intérieur du four froid pour éviter la dispersion du produit dans l’air que je respire. J’aère la pièce. Je ne m’en sers que très occasionnellement
• Je demande la personne aidée et à son entourage de poser sous les équipements électroménagers des patins en téflon pour faciliter la manutention Je limite les manutentions dans l’attente de cette installation
• Je demande une participation de la personne ou de son entourage pour m’aider dans les manutentions
• Je n’effectue pas de manutention sur sol mouillé
• Je vérifie que les équipements, appareils ou produits comme les cendres ne dégagent plus de chaleur. J’attends leur refroidissement complet pour intervenir
• Je ferme le robinet de la gazinière après chaque usage
• Si je constate que le tuyau qui relie l’appareil à la bouteille de gaz ou à l’arrivée du gaz de ville n’est plus en bon état ou est périmé (usure, fissure ou arrachement) j’informe la personne aidée et son entourage et je demande le changement du matériel défectueux, voire dangereux
• Si je rencontre des problèmes de santé au travail, j’en parle à mon médecin

Vous vous exposez à des situations dangereuses pour votre santé.

Les bonnes pratiques

• Je limite mes déplacements en organisant au mieux l’utilisation des plans de travail à ma disposition
• Je ne sors que le matériel dont j’ai besoin
• Je range au fur et à mesure ; j’utilise autant que faire se peut les ustensiles les moins lourds et j’adapte la contenance
• Je propose à la personne aidée et à son entourage de pouvoir ranger de préférence le matériel lourd à hauteur d’homme. Je range les ustensiles et aliments dans un endroit accessible
• Je déplace les petits tapis et carpettes dans la cuisine pendant mon intervention et je les replace après
• Je travaille avec un éclairage adapté
• J’entretiens le sol avec attention dès qu’il est sale pour éviter les chutes
• Je porte des chaussures qui me tiennent le pied et dont les semelles sont en bon état
• J’aère au moins 10 minutes à chaque intervention le logement, même s’il fait froid, en ouvrant toutes les portes et fenêtres
• Les bouches d’aération doivent être nettoyées régulièrement et dégagées
• Je ferme le robinet de la gazinière après chaque usage
• Je coupe tous les appareils de combustion en cas de danger
• J’informe mon médecin des problèmes de santé au travail

L’organisation du travail en cuisine constitue une de vos priorités, c’est bien.

Les bonnes pratiques

• Je limite mes déplacements en organisant au mieux l’utilisation des plans de travail à ma disposition
• Je ne sors que le matériel dont j’ai besoin
• Je range au fur et à mesure ; j’utilise autant que faire se peut les ustensiles les moins lourds et j’adapte la contenance
• Je propose à la personne aidée et à son entourage de pouvoir ranger de préférence le matériel lourd à hauteur d’homme. Je range les ustensiles et aliments dans un endroit accessible
• Je déplace les petits tapis et carpettes dans la cuisine pendant mon intervention et je les replace après
• Je travaille avec un éclairage adapté
• J’entretiens le sol avec attention dès qu’il est sale pour éviter les chutes
• Je porte des chaussures qui me tiennent le pied et dont les semelles sont en bon état
• J’aère au moins 10 minutes à chaque intervention le logement, même s’il fait froid, en ouvrant toutes les portes et fenêtres
• Les bouches d’aération doivent être nettoyées régulièrement et dégagées
• Je ferme le robinet de la gazinière après chaque usage
• Je coupe tous les appareils de combustion en cas de danger
• J’informe mon médecin des problèmes de santé au travail

Très bien, vous êtes très à l’aise dans vos pratiques, vous avez plutôt un profil d’expert.

Les bonnes pratiques

• Je limite mes déplacements en organisant au mieux l’utilisation des plans de travail à ma disposition
• Je ne sors que le matériel dont j’ai besoin
• Je range au fur et à mesure ; j’utilise autant que faire se peut les ustensiles les moins lourds et j’adapte la contenance
• Je propose à la personne aidée et à son entourage de pouvoir ranger de préférence le matériel lourd à hauteur d’homme. Je range les ustensiles et aliments dans un endroit accessible
• Je déplace les petits tapis et carpettes dans la cuisine pendant mon intervention et je les replace après
• Je travaille avec un éclairage adapté
• J’entretiens le sol avec attention dès qu’il est sale pour éviter les chutes
• Je porte des chaussures qui me tiennent le pied et dont les semelles sont en bon état
• J’aère au moins 10 minutes à chaque intervention le logement, même s’il fait froid, en ouvrant toutes les portes et fenêtres
• Les bouches d’aération doivent être nettoyées régulièrement et dégagées
• Je ferme le robinet de la gazinière après chaque usage
• Je coupe tous les appareils de combustion en cas de danger
• J’informe mon médecin des problèmes de santé au travail

Vous n’êtes pas particulièrement attentif aux risques liés à la préparation des repas. Ce n’est pourtant pas une activité anodine.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations contre le tétanos et l’hépatite B
• Je ne tiens pas les aliments à pleine main pour les découper, j’utilise toujours un support pour les poser. Les doigts sont repliés et se tiennent derrière le couteau
• Je ne laisse jamais un couteau posé dans des aliments, sur la planche de découpe ou sur le plan de travail
• Je fais la vaisselle au fur et à mesure et je nettoie les couteaux et objets tranchants à part
• Je range aussitôt les couteaux et les objets tranchants dans un endroit adapté : bloc porte-couteaux ou tiroir à couteaux
• Je porte au-dessus de ma blouse une surblouse en coton pour me protéger de la projection de liquides chauds : éclaboussure d’huile, transvasement de liquide chaud et je m’attache les cheveux si ceux-ci sont longs
• J’utilise des plats solides et dont les matériaux supportent les températures élevées
• Je procède au nettoyage des appareils électriques une fois débranchés
• Je n’utilise pas d’appareils et équipements électriques qui sont dangereux : fils dénudés, appareils vétustes et abîmés et en présence d’eau
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Je demande à la personne qui occupe le logement ou à son entourage de me montrer où couper l’électricité en cas de danger

Ce n’est pas mal du tout. Vous savez que vous pouvez vous blesser en cuisinant.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations contre le tétanos et l’hépatite B
• Je ne tiens pas les aliments à pleine main pour les découper, j’utilise toujours un support pour les poser. Les doigts sont repliés et se tiennent derrière le couteau
• Je ne laisse jamais un couteau posé dans des aliments, sur la planche de découpe ou sur le plan de travail
• Je fais la vaisselle au fur et à mesure et je nettoie les couteaux et objets tranchants à part
• Je range aussitôt les couteaux et les objets tranchants dans un endroit adapté : bloc porte-couteaux ou tiroir à couteaux
• Je porte au-dessus de ma blouse une surblouse en coton pour me protéger de la projection de liquides chauds : éclaboussure d’huile, transvasement de liquide chaud et je m’attache les cheveux si ceux-ci sont longs
• J’utilise des plats solides et dont les matériaux supportent les températures élevées
• Je procède au nettoyage des appareils électriques une fois débranchés
• Je n’utilise pas d’appareils et équipements électriques qui sont dangereux : fils dénudés, appareils vétustes et abîmés et en présence d’eau
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Je demande à la personne qui occupe le logement ou à son entourage de me montrer où couper l’électricité en cas de danger

Vous êtes très à l’aise dans vos pratiques, vous avez plutôt un profil d’expert. Vous maîtrisez les risques de cette activité.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations contre le tétanos et l’hépatite B
• Je ne tiens pas les aliments à pleine main pour les découper, j’utilise toujours un support pour les poser. Les doigts sont repliés et se tiennent derrière le couteau
• Je ne laisse jamais un couteau posé dans des aliments, sur la planche de découpe ou sur le plan de travail
• Je fais la vaisselle au fur et à mesure et je nettoie les couteaux et objets tranchants à part
• Je range aussitôt les couteaux et les objets tranchants dans un endroit adapté : bloc porte-couteaux ou tiroir à couteaux
• Je porte au-dessus de ma blouse une surblouse en coton pour me protéger de la projection de liquides chauds : éclaboussure d’huile, transvasement de liquide chaud et je m’attache les cheveux si ceux-ci sont longs
• J’utilise des plats solides et dont les matériaux supportent les températures élevées
• Je procède au nettoyage des appareils électriques une fois débranchés
• Je n’utilise pas d’appareils et équipements électriques qui sont dangereux : fils dénudés, appareils vétustes et abîmés et en présence d’eau
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Je demande à la personne qui occupe le logement ou à son entourage de me montrer où couper l’électricité en cas de danger

L’organisation du travail n’est pas votre tasse de thé mais c’est un sujet qui mérite d’être creusé. Vous vous exposez à des situations dangereuses pour votre santé. Vous allez vite progresser.

Les bonnes pratiques

• Je propose à la personne que j’habille de supprimer les tapis près du lit ou de les fixer au sol par un adhésif
• Je range les vêtements que l’on prend tous les jours dans un endroit facilement accessible
• Je prépare les vêtements et chaussures à l’avance que je pose près de la personne
• Je porte des vêtements de travail confortables et adaptés à mon activité et des chaussures qui maintiennent le pied, avec une semelle en bon état
• Je choisis en accord avec la personne et/ou son entourage des vêtements larges, confortables, faciles à enfiler : matière élastane, coton avec velcros, pressions, fermeture Éclair. Je veille à ce que la personne aidée porte des chaussures en bon état qui ne constituent pas un risque de chute pour elle et pour moi
• J’utilise un petit banc ou tabouret de 20 à 25 cm pour m’asseoir et travailler à bonne hauteur
• J’assoie la personne à chausser et j’adopte une position accroupie en gardant le dos droit ou en position style “chevalier servant” (1 genou posé au sol)
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

L’organisation du travail autour de l’aide à l’habillage est une de vos préoccupations, c’est bien.

Les bonnes pratiques

• Je propose à la personne que j’habille de supprimer les tapis près du lit ou de les fixer au sol par un adhésif
• Je range les vêtements que l’on prend tous les jours dans un endroit facilement accessible
• Je prépare les vêtements et chaussures à l’avance que je pose près de la personne
• Je porte des vêtements de travail confortables et adaptés à mon activité et des chaussures qui maintiennent le pied, avec une semelle en bon état
• Je choisis en accord avec la personne et/ou son entourage des vêtements larges, confortables, faciles à enfiler : matière élastane, coton avec velcros, pressions, fermeture Éclair. Je veille à ce que la personne aidée porte des chaussures en bon état qui ne constituent pas un risque de chute pour elle et pour moi
• J’utilise un petit banc ou tabouret de 20 à 25 cm pour m’asseoir et travailler à bonne hauteur
• J’assoie la personne à chausser et j’adopte une position accroupie en gardant le dos droit ou en position style “chevalier servant” (1 genou posé au sol)
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

Vous êtes très à l’aise dans vos pratiques et au top de l’organisation, vous avez plutôt un profil d’expert.

Les bonnes pratiques

• Je propose à la personne que j’habille de supprimer les tapis près du lit ou de les fixer au sol par un adhésif
• Je range les vêtements que l’on prend tous les jours dans un endroit facilement accessible
• Je prépare les vêtements et chaussures à l’avance que je pose près de la personne
• Je porte des vêtements de travail confortables et adaptés à mon activité et des chaussures qui maintiennent le pied, avec une semelle en bon état
• Je choisis en accord avec la personne et/ou son entourage des vêtements larges, confortables, faciles à enfiler : matière élastane, coton avec velcros, pressions, fermeture Éclair. Je veille à ce que la personne aidée porte des chaussures en bon état qui ne constituent pas un risque de chute pour elle et pour moi
• J’utilise un petit banc ou tabouret de 20 à 25 cm pour m’asseoir et travailler à bonne hauteur
• J’assoie la personne à chausser et j’adopte une position accroupie en gardant le dos droit ou en position style “chevalier servant” (1 genou posé au sol)
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

Vous n’êtes pas particulièrement attentif aux risques liés à l’aide à l’habillage. Ce n’est pas une activité anodine d’aider les personnes en perte d’autonomie et malades. Un certain nombre de précautions sont à prendre.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos, hépatite B
• Je me lave les mains avant et après l’aide
• Je porte une blouse et des gants
• Je prévois un sac fermé pour mettre le linge souillé
• J’instaure une relation de confiance avec la personne aidée et son entourage pour pouvoir mettre au sale les vêtements souillés
• J’entame un dialogue avec la personne que j’aide et son entourage pour les sensibiliser à l’importance de disposer de vêtements adaptés, propres, en nombre suffisant, pour des raisons d’hygiène, mais aussi de bien-être social et psychologique et de sécurité
• Je demande des consignes de travail précises dans la limite de mes compétences professionnelles
• Je me rapproche des soignants et travailleurs sociaux pour travailler dans un esprit d’équipe
• Je ne reste pas seul et je parle de mes problèmes à mon employeur, mes collègues, au CHSCT*, au médecin du travail ou à mon médecin traitant et à l’entourage de mon employeur si je suis en emploi direct

Ce n’est pas mal du tout. Vous savez qu’être au contact de personnes fragilisées peut présenter des risques pour votre santé. Vous n’êtes pas loin des experts. Courage !

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos, hépatite B
• Je me lave les mains avant et après l’aide
• Je porte une blouse et des gants
• Je prévois un sac fermé pour mettre le linge souillé
• J’instaure une relation de confiance avec la personne aidée et son entourage pour pouvoir mettre au sale les vêtements souillés
• J’entame un dialogue avec la personne que j’aide et son entourage pour les sensibiliser à l’importance de disposer de vêtements adaptés, propres, en nombre suffisant, pour des raisons d’hygiène, mais aussi de bien-être social et psychologique et de sécurité
• Je demande des consignes de travail précises dans la limite de mes compétences professionnelles
• Je me rapproche des soignants et travailleurs sociaux pour travailler dans un esprit d’équipe
• Je ne reste pas seul et je parle de mes problèmes à mon employeur, mes collègues, au CHSCT*, au médecin du travail ou à mon médecin traitant et à l’entourage de mon employeur si je suis en emploi direct

Bravo, vous êtes très à l’aise dans vos pratiques, vous avez plutôt un profil d’expert. Vous maîtrisez les risques de cette activité.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos, hépatite B
• Je me lave les mains avant et après l’aide
• Je porte une blouse et des gants
• Je prévois un sac fermé pour mettre le linge souillé
• J’instaure une relation de confiance avec la personne aidée et son entourage pour pouvoir mettre au sale les vêtements souillés
• J’entame un dialogue avec la personne que j’aide et son entourage pour les sensibiliser à l’importance de disposer de vêtements adaptés, propres, en nombre suffisant, pour des raisons d’hygiène, mais aussi de bien-être social et psychologique et de sécurité
• Je demande des consignes de travail précises dans la limite de mes compétences professionnelles
• Je me rapproche des soignants et travailleurs sociaux pour travailler dans un esprit d’équipe
• Je ne reste pas seul et je parle de mes problèmes à mon employeur, mes collègues, au CHSCT*, au médecin du travail ou à mon médecin traitant et à l’entourage de mon employeur si je suis en emploi direct

Vous n’êtes pas à l’aise sur cette activité et vous vous exposez à des situations dangereuses pour votre santé. Vous exposez aussi celle de la personne que vous aidez. Mais vous allez vite progresser.

Les bonnes pratiques

• J’aménage un espace suffisant autour de la personne pour qu’elle puisse s’asseoir et se relever en toute sécurité
• L’éclairage doit être suffisant dans toutes les pièces où il y a des transferts : pour bénéficier de davantage de lumière je ne ferme pas la porte et j’allume la pièce contiguë (par exemple le couloir)
• Si la personne ne dispose pas d’appui stable ou de barres d’appui : je l’accompagne et je reste avec elle pour la sécuriser
• Je porte des chaussures qui me maintiennent les pieds et dont les semelles sont en bon état et j’encourage la personne à faire de même
• Pour lever une personne d’une chaise, d’un fauteuil ou des toilettes, je bloque mes genoux contre les siens, face à elle. Je lui demande de mettre ses bras autour de mon cou, je la saisis autour des épaules et la tire vers moi
• Je roule les tapis qui me gênent sur les lieux des transferts : WC, salles de bains, chambre
• Je limite mes déplacements avec la personne ; si les conditions de circulation dans le logement ne sont pas satisfaisantes : j’informe mon employeur
• Des aides techniques existent pour apporter un meilleur confort et une sécurité accrue au cours des transferts (réhausseur et barre d’appui pour les toilettes, guidon de transfert pour pivoter et passer du lit au fauteuil, déambulateur pour se déplacer) : j’en parle à la personne aidée et son entourage
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

L’organisation du travail autour de l’aide à la mobilité est une de vos préoccupations, c’est bien. Vous savez déjà un certain nombre de choses.

Les bonnes pratiques

• J’aménage un espace suffisant autour de la personne pour qu’elle puisse s’asseoir et se relever en toute sécurité
• L’éclairage doit être suffisant dans toutes les pièces où il y a des transferts : pour bénéficier de davantage de lumière je ne ferme pas la porte et j’allume la pièce contiguë (par exemple le couloir)
• Si la personne ne dispose pas d’appui stable ou de barres d’appui : je l’accompagne et je reste avec elle pour la sécuriser
• Je porte des chaussures qui me maintiennent les pieds et dont les semelles sont en bon état et j’encourage la personne à faire de même
• Pour lever une personne d’une chaise, d’un fauteuil ou des toilettes, je bloque mes genoux contre les siens, face à elle. Je lui demande de mettre ses bras autour de mon cou, je la saisis autour des épaules et la tire vers moi
• Je roule les tapis qui me gênent sur les lieux des transferts : WC, salles de bains, chambre
• Je limite mes déplacements avec la personne ; si les conditions de circulation dans le logement ne sont pas satisfaisantes : j’informe mon employeur
• Des aides techniques existent pour apporter un meilleur confort et une sécurité accrue au cours des transferts (réhausseur et barre d’appui pour les toilettes, guidon de transfert pour pivoter et passer du lit au fauteuil, déambulateur pour se déplacer) : j’en parle à la personne aidée et son entourage
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

Au top sur ces aspects d’aide à la mobilité, vous êtes très à l’aise dans vos pratiques, vous avez plutôt un profil d’expert.

Les bonnes pratiques

• J’aménage un espace suffisant autour de la personne pour qu’elle puisse s’asseoir et se relever en toute sécurité
• L’éclairage doit être suffisant dans toutes les pièces où il y a des transferts : pour bénéficier de davantage de lumière je ne ferme pas la porte et j’allume la pièce contiguë (par exemple le couloir)
• Si la personne ne dispose pas d’appui stable ou de barres d’appui : je l’accompagne et je reste avec elle pour la sécuriser
• Je porte des chaussures qui me maintiennent les pieds et dont les semelles sont en bon état et j’encourage la personne à faire de même
• Pour lever une personne d’une chaise, d’un fauteuil ou des toilettes, je bloque mes genoux contre les siens, face à elle. Je lui demande de mettre ses bras autour de mon cou, je la saisis autour des épaules et la tire vers moi
• Je roule les tapis qui me gênent sur les lieux des transferts : WC, salles de bains, chambre
• Je limite mes déplacements avec la personne ; si les conditions de circulation dans le logement ne sont pas satisfaisantes : j’informe mon employeur
• Des aides techniques existent pour apporter un meilleur confort et une sécurité accrue au cours des transferts (réhausseur et barre d’appui pour les toilettes, guidon de transfert pour pivoter et passer du lit au fauteuil, déambulateur pour se déplacer) : j’en parle à la personne aidée et son entourage
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin