TESTEZ VOS CONNAISSANCES

L’organisation du travail n’est pas votre tasse de thé mais c’est un sujet qui mérite d’être creusé. Vous vous exposez à des situations dangereuses pour votre santé. Vous allez vite progresser.

Les bonnes pratiques

• Je propose à la personne que j’habille de supprimer les tapis près du lit ou de les fixer au sol par un adhésif
• Je range les vêtements que l’on prend tous les jours dans un endroit facilement accessible
• Je prépare les vêtements et chaussures à l’avance que je pose près de la personne
• Je porte des vêtements de travail confortables et adaptés à mon activité et des chaussures qui maintiennent le pied, avec une semelle en bon état
• Je choisis en accord avec la personne et/ou son entourage des vêtements larges, confortables, faciles à enfiler : matière élastane, coton avec velcros, pressions, fermeture Éclair. Je veille à ce que la personne aidée porte des chaussures en bon état qui ne constituent pas un risque de chute pour elle et pour moi
• J’utilise un petit banc ou tabouret de 20 à 25 cm pour m’asseoir et travailler à bonne hauteur
• J’assoie la personne à chausser et j’adopte une position accroupie en gardant le dos droit ou en position style “chevalier servant” (1 genou posé au sol)
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

L’organisation du travail autour de l’aide à l’habillage est une de vos préoccupations, c’est bien.

Les bonnes pratiques

• Je propose à la personne que j’habille de supprimer les tapis près du lit ou de les fixer au sol par un adhésif
• Je range les vêtements que l’on prend tous les jours dans un endroit facilement accessible
• Je prépare les vêtements et chaussures à l’avance que je pose près de la personne
• Je porte des vêtements de travail confortables et adaptés à mon activité et des chaussures qui maintiennent le pied, avec une semelle en bon état
• Je choisis en accord avec la personne et/ou son entourage des vêtements larges, confortables, faciles à enfiler : matière élastane, coton avec velcros, pressions, fermeture Éclair. Je veille à ce que la personne aidée porte des chaussures en bon état qui ne constituent pas un risque de chute pour elle et pour moi
• J’utilise un petit banc ou tabouret de 20 à 25 cm pour m’asseoir et travailler à bonne hauteur
• J’assoie la personne à chausser et j’adopte une position accroupie en gardant le dos droit ou en position style “chevalier servant” (1 genou posé au sol)
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

Vous êtes très à l’aise dans vos pratiques et au top de l’organisation, vous avez plutôt un profil d’expert.

Les bonnes pratiques

• Je propose à la personne que j’habille de supprimer les tapis près du lit ou de les fixer au sol par un adhésif
• Je range les vêtements que l’on prend tous les jours dans un endroit facilement accessible
• Je prépare les vêtements et chaussures à l’avance que je pose près de la personne
• Je porte des vêtements de travail confortables et adaptés à mon activité et des chaussures qui maintiennent le pied, avec une semelle en bon état
• Je choisis en accord avec la personne et/ou son entourage des vêtements larges, confortables, faciles à enfiler : matière élastane, coton avec velcros, pressions, fermeture Éclair. Je veille à ce que la personne aidée porte des chaussures en bon état qui ne constituent pas un risque de chute pour elle et pour moi
• J’utilise un petit banc ou tabouret de 20 à 25 cm pour m’asseoir et travailler à bonne hauteur
• J’assoie la personne à chausser et j’adopte une position accroupie en gardant le dos droit ou en position style “chevalier servant” (1 genou posé au sol)
• Je travaille avec un éclairage adapté
• Si je ressens des douleurs en travaillant, j’en parle à mon médecin

Vous n’êtes pas particulièrement attentif aux risques liés à l’aide à l’habillage. Ce n’est pas une activité anodine d’aider les personnes en perte d’autonomie et malades. Un certain nombre de précautions sont à prendre.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos, hépatite B
• Je me lave les mains avant et après l’aide
• Je porte une blouse et des gants
• Je prévois un sac fermé pour mettre le linge souillé
• J’instaure une relation de confiance avec la personne aidée et son entourage pour pouvoir mettre au sale les vêtements souillés
• J’entame un dialogue avec la personne que j’aide et son entourage pour les sensibiliser à l’importance de disposer de vêtements adaptés, propres, en nombre suffisant, pour des raisons d’hygiène, mais aussi de bien-être social et psychologique et de sécurité
• Je demande des consignes de travail précises dans la limite de mes compétences professionnelles
• Je me rapproche des soignants et travailleurs sociaux pour travailler dans un esprit d’équipe
• Je ne reste pas seul et je parle de mes problèmes à mon employeur, mes collègues, au CHSCT*, au médecin du travail ou à mon médecin traitant et à l’entourage de mon employeur si je suis en emploi direct

Ce n’est pas mal du tout. Vous savez qu’être au contact de personnes fragilisées peut présenter des risques pour votre santé. Vous n’êtes pas loin des experts. Courage !

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos, hépatite B
• Je me lave les mains avant et après l’aide
• Je porte une blouse et des gants
• Je prévois un sac fermé pour mettre le linge souillé
• J’instaure une relation de confiance avec la personne aidée et son entourage pour pouvoir mettre au sale les vêtements souillés
• J’entame un dialogue avec la personne que j’aide et son entourage pour les sensibiliser à l’importance de disposer de vêtements adaptés, propres, en nombre suffisant, pour des raisons d’hygiène, mais aussi de bien-être social et psychologique et de sécurité
• Je demande des consignes de travail précises dans la limite de mes compétences professionnelles
• Je me rapproche des soignants et travailleurs sociaux pour travailler dans un esprit d’équipe
• Je ne reste pas seul et je parle de mes problèmes à mon employeur, mes collègues, au CHSCT*, au médecin du travail ou à mon médecin traitant et à l’entourage de mon employeur si je suis en emploi direct

Bravo, vous êtes très à l’aise dans vos pratiques, vous avez plutôt un profil d’expert. Vous maîtrisez les risques de cette activité.

Les bonnes pratiques

• Je vérifie que je suis à jour de mes vaccinations : tétanos, hépatite B
• Je me lave les mains avant et après l’aide
• Je porte une blouse et des gants
• Je prévois un sac fermé pour mettre le linge souillé
• J’instaure une relation de confiance avec la personne aidée et son entourage pour pouvoir mettre au sale les vêtements souillés
• J’entame un dialogue avec la personne que j’aide et son entourage pour les sensibiliser à l’importance de disposer de vêtements adaptés, propres, en nombre suffisant, pour des raisons d’hygiène, mais aussi de bien-être social et psychologique et de sécurité
• Je demande des consignes de travail précises dans la limite de mes compétences professionnelles
• Je me rapproche des soignants et travailleurs sociaux pour travailler dans un esprit d’équipe
• Je ne reste pas seul et je parle de mes problèmes à mon employeur, mes collègues, au CHSCT*, au médecin du travail ou à mon médecin traitant et à l’entourage de mon employeur si je suis en emploi direct